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Vers une stratégie de protection globale
Pourquoi allier sécurité humaine, électronique, technologique et cyber ?

Intrusions, espionnage industriel, vols et destructions, incendies, attaques, toutes ces menaces, qui font régulièrement la une des médias, sont aussi des préoccupations quotidiennes pour la très grande majorité des entreprises. La nature des risques évolue par ailleurs, avec la montée en puissance des cyberattaques mais aussi l’émergence de nouveaux outils comme l’IA ou encore les drones. Cette évolution nécessite une réflexion globale sur la sécurité et l’adoption d’une stratégie de protection alliant protection physique et technologique.

 

Onet, spécialiste de la sécurité, promeut cette vision 360° de la protection pour les entreprises et innove pour proposer des outils et des solutions qui facilitent la convergence entre sécurité humaine, électronique, technologique et cyber. Témoignage de Fabienne Pillet Directrice Générale Sûreté Electronique, Sécurité Humaine & Accueil Onet Sécurité et Eric Jougla Directeur Expertise et Innovation.

 

Quels sont les principaux risques
que vous redoutez pour votre entreprise ?

les principaux risques que vous redoutez pour votre entreprise

À cette question, les entrepreneurs du monde entier ont mis les incidents liés à la cybersécurité (à 34 %) en haut du classement. Mais au-delà des risques cyber qui font régulièrement la une de l’actualité, les entreprises sont globalement confrontées à une montée des risques qui pèsent sur leurs collaborateurs, leurs biens, leurs sites…

 

À ce défi de la protection vient s’ajouter l’enjeu du recrutement dans le secteur de la sécurité, qui peine à attirer les candidats. Pour les entreprises, la question de la sécurité et de la protection est aujourd’hui cruciale. Et la réponse passe par l’adoption d’une approche globale, faisant converger sécurité humaine et sécurité électronique.

 

Les Jeux Olympiques et la multiplication des annonces de recrutement d’agents de sécurité ont apporté un coup de projecteur à un enjeu pour de nombreuses entreprises : celui d’un déséquilibre grandissant entre leurs besoins en protection et le nombre de candidats prêts à s’engager dans le secteur de la sécurité.

 

Le secteur pâtit, en effet, d’un manque d’attractivité qui s’est encore renforcé depuis la crise sanitaire. De plus, le – nécessaire – encadrement réglementaire du profil des potentiels candidats avec, par exemple, la carte professionnelle délivrée par le Conseil national des activités privées de sécurité (CNAPS) limite les conditions d’accès à cette profession.

Protection : de nouveaux besoins

En parallèle, les enjeux de sécurité évoluent au rythme des changements sociétaux et technologiques, cyberattaques en tête. Les entreprises sont, en effet, les principales victimes de ces menaces. Selon une étude menée par le cabinet Asterès, les attaques informatiques ont entraîné la perte d’au moins 2 milliards d’euros aux entreprises françaises en 2022.

 

Au-delà de ces attaques parfois très médiatisées, la question de la sécurité physique d’une entreprise, de son personnel, de ses biens, documents et installations est toujours d’actualité. Les émeutes de juillet 2023 en France auraient ainsi, selon le Medef, coûté 1 milliard d’euros aux entreprises.

 

Et selon les chiffres du ministère de l’Intérieur, les entreprises françaises ont été victimes de 58 500 cambriolages en 2021.

 

Une tendance qui s’est renforcée l’année dernière puisque, toujours selon la même source, « la quasi-totalité des indicateurs de la délinquance enregistrée sont en hausse en 2022 par rapport à l’année précédente ».

Entre difficultés de recrutement et besoins grandissants de protection, il y a là pour les entreprises un véritable défi à relever dont la réponse passe par l’innovation et la capacité à réinventer sa sécurité.

Ces enjeux nécessitent, en effet, de revoir l’approche que les entreprises ont de la protection en faisant converger sécurité humaine, électronique et cyberprotection.

Et elles ont tout à y gagner.

Entreprises
Adopter une stratégie de sécurité globale

faire évoluer les métiers de la surveillance

Premier avantage de cette convergence, sa capacité à élever la qualité de protection.

 

La protection électronique, véritable outil à la disposition des hommes et des femmes des métiers de la sécurité, déploie un large panel de solutions qui se sont imposées comme indispensables : système de vidéoprotection, contrôle d’accès, dispositif de détection des intrusions par le déploiement de capteurs de plus en plus efficients (lasers, thermiques, sismiques, acoustiques, robotiques, etc…).

 

Véritables instruments de protection au quotidien, les systèmes électroniques peuvent être adaptés aux contextes (postures sécuritaires), aux spécificités des sites sur lesquels ils sont déployés (sensibles, difficiles d’accès, étendus…) et offrent une permanence d’efficacité 24h/24, 7 j/7.

 

En parallèle, le dispositif de sécurité humaine permet de gérer la levée de doute et l’intervention sur alarme, le contrôle d’identité et le filtrage ou la surveillance et la gestion du risque incendie.

 

La présence d’agents de sécurité est par ailleurs souvent indispensable dans des lieux qui reçoivent du public ; les agents jouent alors un rôle de prévention, d’information, et de secours aux personnes.

 

Complémentaires, sécurité humaine et sécurité électronique ne doivent pas être opposées mais au contraire associées au sein d’une stratégie de protection globale.

 

Objectif : offrir une sécurité optimale en fonction des menaces, du contexte sécuritaire et des enjeux du site à protéger.

Vers un changement
de la gestion des enjeux de sécurité au sein des entreprises

Face à l’évolution des risques, de plus en plus d’entreprises prennent conscience du besoin de convergence entre sécurité humaine et électronique.

 

Une étude menée par ASIS International, une association internationale rassemblant des professionnels de la sécurité et de la sûreté, révélait ainsi que 40 % des entreprises considéraient que cette convergence permettait plus d’alignement avec leurs objectifs en matière de sécurité.

 

En parallèle, de nombreuses entreprises ont fait le choix de revoir l’organisation de leur direction générale pour y intégrer la fonction sûreté-sécurité – c’est le cas de plus de 74 % d’entre elles, d’après une étude du CDSE.

 

Une évolution qui est le signe du rôle central de cette fonction pour les capacités d’anticipation, de prévention et de protection contre la perte de valeur au sein des entreprises.

 

Cependant, et malgré cette prise de conscience, bien des entreprises gèrent encore, au quotidien, les sujets de la sécurité humaine et technologique de manière séparée.

 

Pour les entreprises, il devient aujourd’hui urgent d’adopter une stratégie globale en matière de protection et de sécurité pour gagner en efficience.

Fabienne Pillet, Directrice Générale Sûreté Electronique, Sécurité Humaine & Accueil Onet Sécurité

Nous voyons encore de trop nombreux clients qui séparent sécurité humaine et sécurité électronique, avec des appels d’offre différents, voire qui gèrent ces questions par des Directions différentes. Or nous sommes convaincus que la performance en matière de sécurité passe par une approche globale. Non seulement, c’est ce qui permet une protection adaptée aux enjeux de notre époque mais cette convergence est aussi une réponse forte et pertinente aux enjeux économiques et de ressources humaines qui sont inhérents aux questions de sécurité

Une approche performante et pragmatique de la sécurité

 

Dans un contexte de ralentissement économique général et d’inflation, la convergence de la sécurité humaine et électronique est un levier fort pour optimiser le budget sécurité tout en élevant le niveau de protection.

 

Comment ?

Grâce à un interlocuteur unique, capable de proposer une offre de protection sur mesure, alliant intervention d’agents, systèmes électroniques et solutions technologiques (drones, robots…), et parfaitement dimensionnée aux besoins spécifiques de chaque entreprise et de chaque site, selon des critères comme la présence de public, la taille des sites, leur sensibilité, le besoin de surveillance 24h/24…

Éric Jougla, Directeur Expertise et Innovation Onet Sécurité

Notre volonté, chez Onet Sécurité, est de proposer une protection sur-mesure, qui allie des solutions humaines, technologiques et organisationnelles, et qui place toujours l’humain au centre du dispositif. Nous établissons un diagnostic sur site pour identifier précisément le contexte et les enjeux et ainsi apporter une solution économiquement pragmatique, technologiquement crédible et performante. Nous cherchons à optimiser les dispositifs et leurs interactions dans une approche globale de la sécurité. L’apport de la technologie permet ainsi de redéployer les moyens humains sur des missions plus pertinentes et valorisantes. Cette capacité à adapter les solutions de sécurité aux enjeux des entreprises, c’est la force de notre expérience et de notre expertise

Faire évoluer les métiers
de la surveillance et de la protection

 

D’un point de vue du recrutement et de l’attractivité du secteur, le rapprochement de la sécurité humaine et technologique fait évoluer les métiers de la surveillance. En effet, les systèmes électroniques peuvent prendre en charge les tâches répétitives ou à faible valeur ajoutée.

 

Les agents se voient ainsi attribuer des tâches à plus forte valeur ajoutée liées, par exemple, à l’analyse d’informations provenant de systèmes de protection électroniques ou impliquant une relation avec le public, les salariés, etc. De quoi renforcer l’intérêt pour ces métiers en leur apportant des dimensions supplémentaires.

Cette tendance va se renforcer dans les années à venir avec le développement exponentiel de la vidéosurveillance, l’émergence de nouvelles technologies comme les drones et les robots de surveillance ou encore le recours à l’intelligence artificielle.

Autant d’innovations qui vont transformer en profondeur certains métiers de la sécurité en nécessitant des expertises technologiques plus pointues.
Le recours à la technologie et aux systèmes électroniques permet par ailleurs de réduire les risques auxquels sont exposés les agents lorsqu’ils sont déployés sur des sites « à risque » (sites chimiques, pétrochimiques, industriels, laboratoires).

Là encore, un atout non négligeable pour l’attractivité du secteur.

Claude Defarges, Directeur des Opérations Onet Sécurité

La cybersécurité,
un enjeu transverse

 

Face à la montée des cybermenaces dont les entreprises sont les principales victimes, la convergence de la sécurité humaine et électronique permet une réflexion globale sur les enjeux de cybersécurité et la mise en place d’une politique à la hauteur de ces menaces. Et avec la nouvelle réglementation européenne NIS2 et la norme ISO27001, l’environnement réglementaire et normatif pousse également les entreprises à adopter cette approche.

 

Traiter la cybermenace de façon transverse est une des convictions d’Onet Sécurité. Les réseaux de protection électronique doivent être conçus en intégrant les risques cyber, et les agents de sécurité doivent être formés à ces risques afin de les appréhender dans leurs missions au quotidien. En effet, comme le rappelle le Data Breach Investigations Report 2023 de Verizon à partir de l’analyse de 5 199 compromissions avérées en 2022, 74 % d’entre elles impliquent le facteur humain (ingénierie sociale, erreurs, abus…). D’où l’importance de s’emparer de cette question aussi bien du côté électronique qu’humain.

Non seulement, nous proposons des formations à ces risques avec des experts de la cyberprotection, mais nous prenons en compte l’évolution rapide de ces menaces. La cybercriminalité évolue en permanence et nous l’intégrons dans notre approche. Ainsi, nous souhaitons pouvoir proposer des formations régulières sur ces sujets à nos agents de sécurité comme à nos techniciens de sécurité électronique, et nous nous assurons que nos systèmes de protection et de surveillance sont toujours en mesure de contrer ce risque.

L’innovation, accélérateur de convergence
entre l’humain et la technologie

 Dans cette nécessaire convergence autour de la sécurité, l’innovation tient le rôle d’accélérateur et renforce la collaboration humain-technologie. C’est exactement ce qui se profile avec l’émergence des robots et des drones de surveillance.

OSCAR, un partenaire industriel, un robot de surveillance terrestre

Onet Sécurité a ainsi développé, avec un partenaire industriel, un robot de surveillance terrestre.

Ce robot, nommé Oscar™, est doté d’une capacité d’autonomie de 10h et effectue des parcours de surveillance.

Le robot fait remonter aux agents les informations pertinentes identifiées sur son parcours en fonction de critères prédéfinis : intrusion humaine dans une zone interdite, stationnement d’un véhicule à un emplacement non autorisé ou encore niveau élevé de gaz, etc.

Et les flux vidéo et alarmes captés par le robot peuvent être intégrés au système de supervision du site, ou à un hyperviseur hors site, et ainsi analysés rapidement par les agents de vidéosurveillance.

En filtrant les informations pertinentes, Oscar™ optimise le système de surveillance et permet de limiter les interventions des agents aux seules situations d’alarme.

Pour la surveillance aérienne, les drones sont eux-aussi appelés à se multiplier sur des sites de grande ampleur ou sensibles. Dotés d’une capacité de reconnaissance et de détection de mouvement, ces appareils autonomes peuvent compléter et renforcer les systèmes de surveillance existants.

L’innovation est un formidable levier d’optimisation des dispositifs de surveillance et de la collaboration entre l’humain et la technologie. Chez Onet Sécurité, nous savons aussi que l’innovation n’a de sens que si elle répond aux enjeux de nos clients et au dimensionnement de leurs sites. Nous proposons des solutions innovantes pragmatiques et concrètes.

Autre démarche d’innovation 

Lauris Bonnet, Directeur des Opérations et du Commerce d’Onet Sécurité Telem

Onet Sécurité développe actuellement une nouvelle centrale de sécurité électronique qui permettra d’aller encore plus loin en termes d’intégration et de cybersécurité de tous ces systèmes.

L’émergence de l’intelligence artificielle et ses possibilités en termes de reconnaissance d’image, d’intelligence embarquée, de capacités de réponse adaptée à la situation va encore renforcer cette convergence homme-technologie.

L’IA est autorisée pour la première fois en France dans le cadre des Jeux Olympiques 2024.

La vidéoprotection avec algorithmes permet de repérer les mouvements de foules ou les comportements atypiques et de faire remonter ces informations aux forces de l’ordre. Ainsi, elles ont, grâce à ces outils, une meilleure connaissance de situation, et ne traitent que les informations pertinentes.

Une grande première en France qui ouvre un nouveau pan d’innovation pour la sécurité.