Bien-être et performance au travail
les services de propreté changent de paradigme
Depuis la crise sanitaire, le monde salarié a profondément évolué. Le télétravail, imposé pendant un temps à de nombreuses entreprises, a fait bouger les lignes. Pour recréer l’envie du travail d’équipe en présentiel, il est aujourd’hui nécessaire d’offrir aux salariés des locaux propres et confortables.
Bien loin d’une simple ligne de coût, la qualité des prestations hygiène et propreté est désormais jugée à l’aune de l’expérience utilisateur. Un nouveau paradigme dont les effets sont perceptibles tant au niveau du bien-être au travail que d’un point de vue de la performance économique.
Onet développe cette vision depuis plusieurs années en s’appuyant notamment sur les études menées avec Ipsos sur « La place de la propreté dans le quotidien des salariés français » (2018 et 2021). Cette réflexion souligne la pertinence d’une approche fondée sur l’expérience utilisateur, au cœur de la solution innovante développée par Onet, Clean Connect.
- jeudi 30 mars 2023
- - Onet
L’essor du télétravail
Durant la crise sanitaire, de très nombreuses entreprises ont été contraintes de travailler à distance. Réunions en visioconférences, partages de documents en ligne, aménagement d’espaces de bureaux à domicile… Les contours du poste de travail ont été brouillés, éloignés des traditionnels bureaux.
Plus qu’une option, le distanciel est une nouvelle organisation qui séduit. Le bruit est le principal inconvénient cité dans le fait de travailler dans un bureau (67 %). À l’inverse, le calme propice à la concentration et le gain de temps sur les trajets sont les atouts majeurs du travail à distance pour de nombreux salariés. Plus d’un télétravailleur sur deux considère d’ailleurs être plus productif lorsqu’il conjugue présentiel et télétravail.
Le travail hybride, tendance née de la contrainte, semble ainsi s’imposer comme un modèle vecteur d’équilibre et d’efficacité. L’enquête « Qu’est-ce qu’un bureau ? » le souligne : 52 % des salariés qui ont télétravaillé pendant la pandémie pensent que le travail s’effectuera à l’avenir « la moitié du temps dans des bureaux et l’autre moitié en télétravail ».
La réorganisation
des bureaux
Dans cette quête d’équilibre, le bureau reste toutefois un lieu de vie crucial pour les salariés. Au cours des dernières décennies, l’open space, qui s’est développé à partir des années 1960 et répondait à une logique économique d’optimisation de l’espace, a évolué. Les cubicules, en créant des cloisons partielles, ont progressivement fait évoluer les plateaux bruyants pour offrir davantage d’intimité. Des salles dédiées aux appels téléphoniques sont couramment aménagées en complément.
Le flex office, ou « bureau dynamique », est un autre mode d’organisation qui a vu le jour dans certaines entreprises françaises depuis quelques années. Il consiste à mutualiser des postes de travail afin de prendre en compte les variables de présence (télétravail, congés, réunions extérieures…). En parallèle, des espaces alternatifs sont aménagés pour répondre à des besoins précis : lieux de convivialité, salles de réunion, espaces de concentration… Avec le flex office, les salariés ne disposent pas d’un bureau personnel, mais s’installent où ils le souhaitent – et peuvent – selon leurs activités. La pandémie a contribué au développement de ce système, bien souvent associé à du travail en distanciel. Un tiers des entreprises interrogées l’ont mis en place et 40 % l’envisagent, selon le baromètre Parella 2021.
Cette fragmentation du bureau soulève des questions majeures pour les entreprises. La préservation des performances, de l’esprit d’appartenance des équipes et le maintien d’un management efficient sont de véritables défis. Dans cette perspective, proposer des bureaux accueillants et propres, dans lesquels les collaborateurs se sentent à l’aise, s’impose comme un objectif pour attirer et retenir les salariés.
Le constat est sans appel : la propreté influence énormément la vie quotidienne des Français. Dans l’univers professionnel, dans l’espace de travail, les salariés sont aussi quotidiennement soumis à cet impératif de propreté et d’hygiène. 98 % des Français considèrent que l’hygiène et la propreté participent au bien-être en entreprise. C’est aussi une source de performance. À l’inverse, la non-propreté est source de conflits, et c’est exacerbé quand on est en flex office. Donc, c'est vrai que les nouveaux modes d’organisation amènent à prendre davantage en considération cette notion de propreté.
La propreté,
une notion « fondamentale »
pour les Français
Expert dans la propreté et les services associés auprès des entreprises, Onet n’a pas attendu la pandémie pour chercher à décrypter les nouvelles attentes des utilisateurs finaux. Ainsi, deux études ont été menées, en 2018 et en 2021 en partenariat avec Ipsos, sur « La place de la propreté dans le quotidien des Français et sur leur lieu de travail ».
Pour 9 Français sur 10, la notion d’hygiène est « fondamentale ».
Exigée dans les hôpitaux (96 %) et les restaurants (95 %), elle est aussi attendue sur le lieu de travail pour 88 % des sondés. Cette vigilance a d’ailleurs gagné en acuité depuis la crise sanitaire.
8 français sur 10 ont ainsi déclaré prêter davantage d’attention au niveau d’hygiène et de propreté des lieux fréquentés.
Selon l’enquête de 2021, ce point peut être véritablement bloquant puisque 9 Français sur 10 affirment avoir déjà renoncé à une activité pour des raisons de propreté. Ce constat se vérifie aussi sur le lieu de travail où 44 % des salariés ont déjà évité de se rendre aux toilettes par crainte du manque d’hygiène…
Un chiffre de nature à interroger alors que le retour des équipes en présentiel est un enjeu majeur pour les entreprises.
L’hygiène au travail,
levier de performance et de bien-être
Force est de constater que les employés ont désormais une sensibilité accrue à la propreté dans leurs locaux.
Elle est particulièrement attendue dans certains lieux, à commencer par les toilettes et sanitaires pour 90 % des salariés, et plus globalement, l’étude pointe les espaces partagés (cantine, coin cuisine, salle de pause) comme des zones clés.
L’étude Onet x IPSOS souligne la nécessité de proposer des bureaux propres et bien rangés, car cet environnement contribue à la motivation pour 95 % des salariés.
Pour 92 % d’entre eux, il s’agit d’un élément nécessaire à de meilleures performances (un chiffre en augmentation de 7 points par rapport à la précédente étude datant de 2018). L’hygiène intervient par ailleurs dans le bien-être au travail : 94 % des salariés estiment qu’elle participe au maintien d’une bonne ambiance.
À l’inverse, 87 % des travailleurs considèrent le manque de propreté comme une source de stress et près d’un employé sur deux a déjà connu un conflit au bureau à ce sujet.
Pour toutes ces raisons, il apparaît crucial de garantir à ses collaborateurs des locaux entretenus avec soin et régularité.
La présence des agents d’entretien est d’ailleurs perçue positivement. 7 salariés sur 10 déclarent avoir plus confiance dans la propreté de leur lieu de travail s’ils constatent la présence de ces professionnels de l’hygiène.
La conviction Onet
Le travail en journée
L’étude met en lumière les bénéfices perçus par les employés lorsqu’ils côtoient les agents d’entretien, mais ce ne sont pas les seuls. Chez Onet, nous sommes convaincus qu’il est préférable de planifier la présence des agents de propreté sur les horaires d’activité de l’entreprise, plutôt qu’en horaires décalés ou en discontinue dans la journée, c’est-à-dire en fin de journée et/ou très tôt le matin. Cette organisation bénéficie à toutes les parties : salariés du client, les agents de propreté et leurs directions respectives.
– Les prestations effectuées bénéficient d’une meilleure visibilité, avec la possibilité de voir traiter les incidents rapidement, dès leur signalement. Cette réactivité des agents qui s’adaptent aux besoins et au fonctionnement des utilisateurs finaux est grandement appréciée !
– Les interventions en journées permettent de réaliser des économies d’énergie puisque les agents sont présents sur les horaires de travail classiques : un point positif pour toute démarche RSE. Autre avantage sur le plan environnemental, les agents bénéficient des transports collectifs et/ou diminuent leurs trajets en voiture en cas de prestation continue.
– Enfin, la coactivité permet d’humaniser les relations entre les différentes parties prenantes. 81% des salariés interagissent avec les agents pour les remercier ou échanger des politesses. Cette démarche crée une relation de confiance entre les parties et contribue à la fidélisation des agents, à leur bien-être et à la réduction de l’absentéisme. Ils sont valorisés et plus motivés.
Depuis maintenant 13 ans Ricoh France a adopté la prestation de nettoyage en journée. Progressivement, on a vu une amélioration. Les collaborateurs sont plus respectueux et surtout, ce que l’on voit, c'est que nous avons une prestation de nettoyage qui est adaptée à nos besoins. Il n’y a plus de prestations systématiques, mais vraiment des actions ciblées tout au long de la journée.
CleanConnect, la révolution numérique
au service de la propreté… et des usagers
Les études Onet x Ipsos mettent ainsi en lumière les impacts des services de propreté et d’hygiène sur le bien-être et les performances des travailleurs. Elles nourrissent aussi l‘élaboration de réponses innovantes aux nouvelles attentes, en particulier le besoin de nettoyage en fonction de l’usage du local, besoin confirmé en 2021 par Onet avec 93 % d’adhésion des salariés (Etude Ipsos 2021. % de salariés jugeant utile à essentiel le nettoyage en fonction de l’usage du local).
La propreté à l’usage répond à la demande d’adaptation des entreprises. Elle est la traduction, dans les services d’hygiène, de la volonté de répondre à l’imprévu, à l’aléa, aux variables que l’on observe par ailleurs avec le flex office.
Afin de satisfaire ces nouvelles exigences, Onet a associé l’humain et la technologie avec l’offre CleanConnect.
Habituellement, les prestations d’hygiène sont définies contractuellement par une fréquence d’intervention et un prix au mètre carré.
Onet propose un nouveau modèle, dynamique et bien plus performant. CleanConnect illustre une idée simple et pourtant révolutionnaire : il est plus efficace d’intervenir au bon endroit et au bon moment, selon les besoins des usagers.
Clean Connect, c’est la première offre de propreté à l’usage. L’objectif est de pouvoir être au bon endroit, au bon moment, ne pas être sur un fréquentiel récurrent mais avoir une prestation de nettoyage qui s’adapte à l’usage des occupants. Aujourd’hui, ce sont les occupants qui sont au cœur du processus. Ce sont eux qui définissent nos usages de nettoyage. D’où l’offre Clean Connect
Chez Onet, la propreté à l’usage est fondée sur un algorithme d’Analyse du Besoin de Nettoyage.
À partir de capteurs connectés placés dans les locaux, des données du site et des ajouts manuels effectués par les occupants sur l’application, CleanConnect établit un plan de nettoyage optimisé.
Les urgences sont traitées en priorité, par exemple, à la suite d’un café renversé. Avant chaque intervention, l’agent de propreté sait quelles tâches doivent être accomplies et dans quels espaces.
Pour cela, il lui suffit de consulter l’application CleanConnect sur son smartphone. Ainsi, il travaille en toute autonomie, de façon plus fluide et efficace.
C’est aussi pour lui un facteur de responsabilisation, un gain de sens au travail et un quotidien fait de tâches moins monotones. De fait, avec le travail hybride et le flex office, il n’est pas toujours nécessaire d’intervenir dans chaque zone. L’adaptation aux besoins réels fait toute la valeur de cette innovation.
Adaptées en continu et en temps réel, les prestations de propreté avec Clean Connect offrent une qualité constante. Cette fiabilité est un véritable atout pour renforcer le confort des utilisateurs finaux.
CleanConnect révolutionne ainsi le métier de la propreté et du nettoyage de bureaux en accompagnant les nouveaux modes de travail.