Adlène Bessioud « sécurise » son avenir professionnel
A 38 ans, fort d’une première carrière réussie dans la sécurité, Adlène Bessioud entame une nouvelle phase de sa vie à la fois sur le plan professionnel et personnel.
Ce jeune papa d’un petit garçon, né en juin 2021, entré en 2013 comme agent de sécurité au sein du groupe Onet, vient d’être nommé adjoint au responsable des Services Généraux au siège.
- - Onet
Adlène Bessioud rêvait de devenir footballeur. « À la maison, nous ne parlions que de foot », raconte celui dont la carrure trahit son passé récent dans la sécurité professionnelle et de longues heures sur le banc de musculation.
À vingt ans, fort d’un CAP APS, il devient agent de prévention et de sécurité. Depuis, il n’a eu de cesse de se former. Après des premières expériences dans l’événementiel, Adlène s’oriente vers la sécurité industrielle. « J’ai passé un SSIAP niveau 1 puis 2 comme chef d’équipe en sécurité incendie », raconte Adlène avec une pointe d’accent du sud-ouest.
En 2013, il rejoint Onet Sécurité en tant qu’agent de sécurité au siège du Groupe, poste qu’il occupe durant cinq ans avant d’être promu chef d’équipe en 2018 puis chef de poste l’année suivante.
Il met sa courtoisie, son tact, son savoir-faire dans la gestion des accès au service du groupe. Premier et dernier collaborateur rencontré par les clients, prospects et direction, il veille à présenter une image irréprochable de l’entreprise tout en assurant ses missions avec grand professionnalisme.
C’est un honneur, une fierté de travailler au sein de la maison-mère. Dans le monde de la sécurité, les évolutions de carrière sont rares. Avec mon DIF, je me suis formé comme moniteur-sauveteur-secouriste au travail, secouriste civique. Grâce au Groupe, j’ai aussi suivi une formation à la détection de faux documents officiels.
Son implication et sa soif d’apprendre font mouche au sein du Groupe. Didier Baud, responsable des Services Généraux, le recrute comme adjoint le 1er août 2021.
« Je suis très fier de travailler à ses côtés, Didier m’a toujours conseillé et guidé », se réjouit Adlène.
Désormais, totalement impliqué dans la gestion du site et de ses huit bâtiments, ce jeune papa avoue ne pas voir passer les journées… et ses nuits. « La paternité m’a fait mûrir », conclut-il.
J’avais besoin de renforcer mon service. Rigoureux et curieux, Adlène connaît parfaitement les installations et les collaborateurs du siège et puis il a cette envie de progresser !